Si je vous dis qu’il existe des ponts, voire des viaducs, entre la création d’une œuvre graphique et l’ascension d’une montagne, vous allez très certainement me répondre que je suis le roi des métaphores à trois francs six sous. Et bien permettez-moi tout de même d’insister.
Peindre un tableau ou gravir le Kilimandjaro sont, à priori, deux activités bien distinctes. Et pourtant, si l’on zieute de plus près, il est aisé d’affirmer qu’il s’agit, dans les deux cas, d’une aventure abrupte remplie de défis et de découvertes. Tout comme un alpiniste doit s’armer de patience et de détermination pour atteindre les sommets, le peintre doit se préparer à explorer et à surmonter les difficultés afin d’atteindre son objectif artistique. Au fur et à mesure que le créatif progresse dans son cheminement, il rencontre des obstacles, des incertitudes et des dilemmes. Le grimpeur, lui, doit faire face à des événements imprévus, des terrains accidentés et prendre des décisions critiques, parfois dans l’urgence. Quelle que soit l’activité, la satisfaction et la fierté viennent avec la réalisation de l’objectif final (on se croirait presque sur LinkedIn c’est fou).
Si j’ai réussi à vous convaincre avec mon subtil développement, je vous invite à lancer l’épisode. Sinon, je vous invite également à lancer l’épisode. Là aussi, dans les deux cas, l’issue est la même.
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